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En mémoire de  notre fils Stéphane
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En mémoire de notre fils Stéphane

VIP-Blog de stephmcquay
dominique.girard2002@wanadoo.fr

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  • 1 visiteur aujourd'hui
  • Créé le : 24/08/2007 22:23
    Modifié : 28/10/2025 09:08

    Garçon (55 ans)
    Origine : Saint-Rémy
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    Mon puceron un petit poème pour toi

    09/10/2008 08:54

    Mon puceron un petit poème pour toi


    Devant la mort d'un enfant
    On pleure très souvent
    Et rien n'est plus important

    Nous ne pouvons l'accepter
    Alors nous devons nous résigner
    Car nous serons toujours affectés

    On a du mal à avoir la foi
    Car il y a toujours ce pourquoi
    Malgré les semaines et les mois

    Nous nous forçons à avancer lentement
    Ne gardant de lui que les meilleurs moments
    Que nous avons partagés avec lui il y a quelques temps

    Ton papa qui t'aime très fort



    Commentaire de Louma (09/10/2008 09:57) :

    GROS BISOUS MON PETIT DOMINIQUE ET SURTOUT ACCROCHES TOI...JE T'ENVOIE UN PEU DE SOLEIL...IL BRILLE CE MATIN...QU'IL ECLAIRE VOTRE MAISON DU MIDI ET QU'IL FASSE CHANTER LES CIGALES.






    MON ENFANT MON AMOUR

    11/10/2008 09:41





    Mon poussin, mon enfant, mon amour les larmes coulent , superbe chanson de Serge Réggiani, tu étais à Paris à l'école avec sa petite fille vers les halles, que de souvenir de ta petite enfance mon petite ange adoré.

    ta maman qui t'aime tellement





    Pour toi mon poussin j'ai trouvé cette photo mignonne

    11/10/2008 14:39

             Pour toi mon poussin j'ai trouvé cette photo mignonne



    Mon ange,

    Ce matin mon poussin j'ai vendu à une dame 6
    cartes en 3 D, et un tableau, elle ne pouvait pas
    venir à l'exposition du 26 octobre, beaucoup de belles
    choses que ton papa à fait, je l'ai mettrai sur le blog.

    Tu es tout les jours vers moi , je te parle dans cette maison
    du soleil, ta présence est bien là, nous arrivons bientôt à
    nos 18 mois de solitude , papa se soigne il le fait pour toi
    il m'a promis et tu sais pour toi il aurait décrocher la lune.

    J'ai beaucoup de mal à entendre les gens parler de leur enfant
    qui n'écoute pas, j'ai souvent envie de leur crié mais taisez -vous
    vous les avez vous , les gens se plaignent sans arrêt, j'ai pris le
    parti de ne plus répondre.

    Mon poussin je ne t'oublierai pas pour noël , tu auras ton petit
    sapin, et un cadeau, mais le plus beau tu sais ce que ce serait
    tout simplement que tu me fasses la surprise du 24 décembre
    au soir de sonné à la maison, de te revoir dans l'entrebaillement
    de la porte , que je puisse t'embrasser et te souhaiter un joyeux
    noel, hélàs tout cela n'est qu'illusion , j'attendrai quand même.

    je t'aime mon poussin







    C'est tellement vrai ce que marque cet écrivain, une seule chose que je n'aime pas c'est faire le deuil de son enfant pour moi le mot n'est pas approprié

    12/10/2008 20:44




    "FLaire le deuil d’un enfaFLnt, c’est long, très long"

    « Après la mort de Marc, j’ai compris de l’intérieur cette réaction des rescapés des camps de concentration : j’avais le sentiment de vivre une expérience tellement effroyable, qu’elle resterait indicible parce que personne ne pourrait jamais la comprendre.»

    Ce que cette mère arrive à formuler, dix ans après le décès de son fils, traduit bien ce que ressentent beaucoup de parents endeuillés. La mort d’un enfant est en effet l’expérience la plus terrible que peuvent vivre des parents. (…) Une épreuve qui atteint la chair de leur chair, contre l’ordre chronologique du temps et des générations (« c’était à moi de partir », disent les grands-parents), et sur laquelle on a du mal à mettre des mots.Et ils ont le sentiment qu’ils ne pourront jamais la partager avec d’autres, y compris, souvent, avec ceux qui leur sont proches (…). Et «les autres », de leur côté, n’osent pas leur en parler.

    « La mort de l’enfant reste un tabou très fort, qui conduit à l’isolement des parents, explique Marie-Frédérique Bacqué, auteur de plusieurs ouvrages sur le deuil (1). D’un côté, ce sont les parents eux-mêmes qui s’isolent : pris dans un mouvement de culpabilité, ils s’autosanctionnent en se refusant au monde, en évitant d’entrer en contact avec l’entourage. Et les autres parents ont tendance à les fuir, car ils en ont peur : ils ont peur d’être touchés, émotionnellement, ou réellement, par une espèce de superstition selon laquelle la mort serait contaminante. » (…)

    Nadine Beauthéac, ethnosociologue et administratrice de l’association "Vivre son deuil Parie-Ile-de-France" vient d’écrire un livre sur le deuil (2). « On vit dans une société qui ne sait pas manier les mots du chagrin, déplore-t-elle. Et il est impudique de le faire.

    Passé le choc du début, les parents en deuil son amenés très vite, sous la pression sociale, à ne plus pouvoir en parler. On leur demande de faire le deuil le plus vite possible. Or, le deuil d’un enfant, c’est très long, beaucoup plus long que ce que la société imagine.» Cette accélération sociale du deuil est encore plus forte, souligne-t-elle, lorsque l’enfant décédé est un nouveau-né. « Quand au bout de quelques mois, de quelques années, les parents qui ont perdu un bébé expriment des signes de souffrance, l’entourage (qui souvent n’a pas connu l’enfant) va leur renvoyer « qu’il était si petit », qu’il faut « qu’ils l’oublient », et qu’ils « tournent la page ». (…)

    Ce dont souffrent les parents, en plus de l’absence, c’est de ce silence, car ils ont très peur que leur enfant soit oublié. « L’entourage, insiste Nadine Beauthéac, ne mesure pas ce que vivent au quotidien ces parents, dans quel état d’épuisement physique et psychologique ils sont. Les parents en deuil soulèvent l’Himalaya tous les matins. Au bout d’un an ou deux, la plupart, commencent à peine à sortir du choc. (…) « Faire le deuil d’un enfant, c’est long, très long, répète-t-elle. On est agité par des sentiments très complexes : on s’attend à n’éprouver que du chagrin, mais derrière le paravent du chagrin il y a la colère, et derrière encore la culpabilité. Ces émotions, il faut que les parents en deuil aient le temps de les repérer (on étouffe par exemple sa colère contre le défunt pendant des années), de les vivre, de les traverser…

    Il s’agit d’un travail lent et difficile. » Un travail qui peut se faire seul, mais aussi et de plus en plus avec l’aide des autres. « Ce qui peut permettre d’aller plus vite, souligne Nadine Beauthéac. Car il est terrible de se dire que des souffrances ont pu se taire si longtemps. Telle celle de cette mère, venue récemment se présenter à "Naître et Vivre" en disant : « J’ai perdu mon bébé il y a vingt ans : il avait 3 mois… » Signe qu’une lente évolution est en cours ?

    Un psychothérapeute apprend même aux parents dont l'enfant vient d'être emporté par le cancer à identifier dans leur entourage les personnes «ressources» et les personnes «toxiques». «Les personnes toxiques, ce ne sont pas nécessairement des personnes qui ont de mauvaises intentions, mais elles n'aident pas les parents à vivre leur deuil [en amoindrissant la perte], explique M. Deslauriers. C'est important de dire aux personnes qui vivent un deuil qu'elles ont le droit et la possibilité de se passer pour un bout de temps les gens qui leur nuisent».

    Les associations qui proposent d’accompagner ces parents en deuil se sont développées ces dernières années. (…) « Et de plus en plus de parents s’autorisent désormais à chercher de l’aide », souligne Annick Ernoult, fondatrice de l’association "Choisir l’espoir", et animatrice-formatrice au centre François-Xavier Bagnoud. (…) Ils peuvent enfin partager leurs expériences, leurs émotions avec d’autres parents qui traversent la même épreuve qu’eux, dire leur honte, leur culpabilité (« c’est de ma faute, je n’ai pas su protéger mon enfant »), leur difficulté à s’intéresser à leurs autres enfants (« je ne pense qu’à celui qui est mort »), leur colère, leur tristesse, et s’aider à apprivoiser peu à peu cette absence insupportable.

    « On a le sentiment au début, explique Annick Ernoult, qu’on ne s’en remettra jamais. En parlant ensemble, on s’aperçoit qu’en fait on ne veut pas s’en remettre parce qu’on a peur d’oublier. Or, faire son deuil, rappelle-t-elle, ce n’est pas oublier, c’est s’apercevoir qu’on peut parler de son enfant autrement que dans les larmes, c’est se remémorer tout ce qu’on a vécu avec lui pour reconstruire l’héritage qu’il nous laisse. » « Il ne s’agit pas non plus de se consoler, précise Nadine Beauthéac. Quand on perd un enfant, on est inconsolable (on peut apporter son soutien à la personne, mais il faut lui garder son espace où elle est inconsolable). »

    Les parents qui traversent cette épreuve ne seront jamais plus « comme avant » : ils changent leur échelle de valeurs, leur façon de voir les choses, ils ont besoin d’expérience fortes, authentiques, les sorties purement sociales deviennent insupportables. Certains sont amenés à quitter leurs amis. Beaucoup changent d’activité, de métier. « Les parents cherchent à donner un sens à leur vie, ajoute Annick Ernoult. Car si la mort d’un enfant n’a pas de sens, on peut donner un sens à sa vie après cet événement-là. » Chacun à sa manière. Un papa informaticien a voulu ainsi travailler dans un hôpital. D’autres vont militer dans des associations de lutte contre le cancer ou contre la violence routière… ou aider à leur tour d’autres parents en deuil…"

     

     

    (1) "Le deuil à vivre", éd. Poches, Odile Jacob, 2000.

    (2) "Le deuil. Comment y faire face ? Comment le surmonter ?", éd. du Seuil, 2002
    "Apprivoiser l'absence : adieu mon enfant.", éd. Fayard, 1992.

     






    JE ME SOUVIENS

    12/10/2008 21:00

                                         JE ME SOUVIENS



    Mon ange,

    Le 26 Octobre je fais une petite exposition
    de ce que je crée, je ne serais pas la seule
    dans cette salle.

    Mais ce jour là, j'aurais le coeur encore plus
    lourd que les autres jours. Je te reverrai toujours
    toi et papa venir m'aider pour mettre en place mon
    travail.

    Comme je te l'ai dit mon ange, il y aura de superbe
    chose que papa à faite je vais mettre cela sur le blog
    les gens pourront acheter leur cadeau de noel, rien que
    le mot est dur à prononcer, en vendant je fais plaisir aux
    gens et surtout je te gâterais.

    Aujourd'hui mamie est venue avec Sandrine, Stéphane et leur
    superbe petit garçon Quentin , tu as mon ange de superbes
    cousines , ce qui me fait plaisir c'est que je peux parler de toi,
    c'est ma priorité , la famille de papa ne t'oublierons jamais je veux
    que l'on me parle de toi, qu'on aille te dire un petit bonjour là ou tu
    reposes, cela nous touche papa et moi.

    ta maman pense tous les jours à toi

     







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