La terre n'a jamais cessé de tourner. Le soleil se lève chaque matin. Le chant mélodieux des oiseaux, les fleurs chaque printemps nous enchantent chaque fois. La chaleur du soleil tel un réconfort. Beaucoup de choses ici inexplicables magiques telles un rêve. Pourquoi nos enfants ayant quitté ce monde n'entendraient-ils pas nos messages d'Amour ! Nous, oublier jamais ! Puisque chaque jour nous leurs disons toute notre affection, notre adoration. Je pense là-haut qu'ils nous entendent, qu'ils perçoivent tant de choses. Mais notre manque est tellement fort, notre tristesse sans appel ! Une chose est certaine, c'est l'Amour éternel d'une mère, d'un père, d'une famille, d'une amitié.
Superbe chanson de Marc Lavoine dédié pour son papa, mais moi mon petit Stéph cette chanson est pour toi, tu me manques tellement, on perd tout quand la vie d'un enfant s'en va, j'aurais préféré perdre mon père, ( si on peut appeler cela un père).
Nancy qui m'à envoyé cette chanson, je la remercie.
je ne suis jamais loin de toi mon enfant il n'y a que les nuages qui nous séparent .
ta maman qui t'aime,ou que je sois je pense à toi
j'avance pour toi, mais je ne suis plus heureuse mon coeur saigne trop, mais je tiens ce n'est pas du courage , mais juste un hommage.
La chanson est j'ai perdu mon père, j'ai mis mon enfant
D'abord, j'ai perdu ma langue et puis j'ai perdu mes clefs Ensuite, j'ai perdu le nord, la tête un soir d'été J'ai perdu mon adresse et puis j'ai perdu mon âme, j'ai perdu mon chemin J'ai perdu d'avance, j'ai perdu la guerre J'ai perdu le sens de l'humour, des affaires Et puis j'ai perdu la mémoire, j'ai perdu le sourire Le jour où j'ai perdu mon fils, j'ai perdu à la loterie
Oh, viens me retrouver, reviens mon amour. Pour dix de retrouvées, je n'ai qu'un amour. Oh, viens me retrouver, reviens mon amour. Pour dix de retrouvées, je n'ai qu'un amour.
Alors, j'ai perdu toi mon enfant et puis j'ai perdu confiance J'ai perdu au poker, j'ai perdu la conscience J'ai perdu la beauté, le goût, le toucher J'ai perdu mes papiers, j'ai perdu mon identité J'ai perdu la raison, j'ai perdu ma maison J'ai perdu à tort ou à raison, j'ai perdu d'être maman Et puis je t'ai perdue, j'ai perdu mon aimé Il me reste la vie, j'ai perdu à la loterie
Oh, viens me retrouver, reviens mon amour. Pour dix de retrouvées, je n'ai qu'un amour. Oh, viens me retrouver, reviens mon amour. Pour dix de retrouvées, je n'ai qu'un amour.
D'abord, j'ai perdu ma langue et puis j'ai perdu mes clefs Ensuite, j'ai perdu le nord, la tête un soir d'été J'ai perdu mon adresse et puis j'ai perdu mon âme J'ai perdu mon chemin J'ai perdu d'avance, j'ai perdu la guerre J'ai perdu le sens de l'humour, des affaires Et puis j'ai perdu la mémoire, j'ai perdu le sourire Le jour où j'ai perdu mon fils, j'ai perdu à la loterie
Oh, viens me retrouver, reviens mon amour. Pour dix de retrouvées, je n'ai qu'un amour. Oh, viens me retrouver, reviens mon amour. Pour dix de retrouvées, je n'ai qu'un amour.
C'est si dur pour un homme ; Il n'a pas droit au réconfort Du douloureux travail, du corps défait, De ce qui doit s'accomplir.
Pour toute consolation Il pose doucement sa main Sur sa joue Porte humblement avec elle son regard Sur cet intolérable amour.
Il ne lui donne rien de trop ; Son courage, c'est l'art De détourner les yeux quand il le faut, Ou se taire Ou la laisser à sa solitude. Il grandit en rapetissant.
Son secours Est invisible ; il cache La main qu'il lui tend ; Ainsi, il en aide aussi un autre Dont le cœur bat doucement entre eux, Dont le souffle Lui couvre le visage la nuit Quand elle se retourne vers lui Pour doucement l'étreindre.
L'homme dont l'enfant est mort Est touché par la grâce : Humblement il se met au travail Et souffre à son tour De porter le cœur de son enfant De le mettre au monde Sous forme de bonté, d'altruisme, De belle ouvrage accomplie Sans espoir de retour.
UNE JOURNEE EN SUISSE IL Y A 4 ANS TU ETAIS ENCORE LA MON POUSSIN
15/11/2009 19:33
LA DOULEUR
Je connais une mère qui pleure Elle va au cimetière sur une tombe Une partie d'elle-même est là Ensevelie sous la terre Où elle voudrait le rejoindre
Je connais un père qui souffre Il vit la déchirure de la mort Certains lui disent que son bébé son enfant est parti là-bas Et qu'il ne faut pas verser de larmes
Je connais leur déchirure Le sentiment d'être amputée D'être vide au coeur du ventre Révoltée au fond des tripes Envie parfois de tout recommencer
Je connais leur cauchemar L'impression de vivre un rêve Une illusion terrible de laquelle Va revenir notre enfant chéri La mort est définitive dans l'absence
Je connais une mère qui rit Mais qui s'en veut de pouvoir encore Produire des sons de joie insolents Devant le drame quotidien qu'elle vit Dans ses cellules écartelées
Je connais un père qui travaille Mais les images de son enfant le hantent Il s'accroche à la vie comme à la falaise En demandant aux anges de le tenir Assez fermement pour ne pas sombrer
Ce que tu m'as donné, mon enfant C'est la vie qui s'ouvre sur l'inconnu C'est le don d'être maman à jamais entre Ciel et Terre C'est ton rire qui résonne toujours en moi Et tes bras autour de mon cou qui vivent à jamais
Ce que les parents orphelins Apportent aux autres C'est la constance intérieure De ceux qui s'accrochent Désespérément
Ne leur dites jamais de ne pas pleurer Personne ne dit à un handicapé qu'il ne l'est pas Son fauteuil se voit Pas la tombe de notre enfant Ni l'urne qui dort dans notre jardin
Ce que toi tu peux faire C'est nous parler des arbres De la terre et des roses Du silence où les mots chantent De sa vie dans la nôtre.